Le ciel nu
Carressait
Mes épaules chargées d’orages
Le ciel nu
Carressait
Mes épaules chargées d’orages
L’appel de la colline
en un matin d’été ;
Ce n’est pas d’eau
Dont cette terre a soif
Mais du nouveau langage des émotions
Et cette Terre me dit :
« Enfant, je te retrouve enfin »