2009
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Les flots de la vie ne s’attachent nulle part Seule la source est sûre Seule la source est sue
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Il est comme ces fleuves étourdissants Qui se nourrissent De la chair tranquille des ruisseaux
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Ultime Passage :J’ai vu la matière se déliteren vagues successivesde particules inconcevables…
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L’espace infini constellé des passions des hommes, à fleur de poitrine, à un souffle de vous…
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J’ai oublié le fleuve La lumière Me désaltère Malgré moi
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L’appel de la colline en un matin d’été ; Ce n’est pas d’eau Dont cette terre a soif Mais du nouveau langage des émotions